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Jeannine Hubert en prose

o Ma grand-mère a vécu le capitalisme et son essor dans la région de Chicoutimi.

o Elle est un champ de forces qui prennent racine dans son caractère.

o Son énergie a été capturé par le capitalisme notamment par le biais de son travail d’infirmière.

o Elle s’est développée comme infirmière, dans son métier comme personne, son revenu lui permettant de devenir la femme indépendante qu’elle désirait être.

o Sa force de caractère lui permet de devenir sa propre personne, ce que j’ai représenté par les végétaux et les animaux autour d’elle dans le dessin suivant.

o Ma grand-mère fleurit, sous le soleil brûlant du capitalisme et sous le brûlure solaire de la vieillesse.

o Elle tire partie de l’animosité qui l’entoure pour fleurir encore et voir à travers ses yeux propres l’univers qui lui convient.

o Le dessin, nommée « Jeannine en armoirie », représente ma grand-mère aux côtés d’éléments qui représentent sa force de vie et son empreinte.

o Elle est encadrée par les fenouils, plante aux réputées vertus curatives et à la force symbolique.

o Elle porte sur son échine le fardeau de la production capitaliste, représenté par la tulipe hollandaise, symbole de par son histoire de tulipomanie hollandaise des excès capitalistes.

o Elle est notamment représentée aux côtés d’un aigle, pour signifier son désir de liberté, qu’à l’image du grand volatile, elle a pu obtenir en planant sur les courants ascendants sociaux pour sa part.

o Cette ascension sociale peut être mise en lien avec les bijoux achetés par ma grand-mère pour démontrer cette capacité d’achat.

o Bijoux qui incarnent sa vitalité offerte sur l’hôtel du travail.

o La photographie, nommée « double exposition d’une vie », présente les éléments acquis par ma grand-mère au nom du statut social. Ses bijoux s’avéraient notamment une manifestation de son statut social.

o L’art de la broderie en est un qu’elle a transmis à sa petite-fille ; toutefois, ce passe-temps créatif ne permet de générer que de très bas profits, malgré son aspect productif, au contraire de la sculpture de mon grand-père.

o Le paysage en double exposition en est un qui est dépeuplé de ses oiseaux par le même système qui génère des profits sur leur regard.

o La modification du paysage par le capitalisme, notamment pour son exploitation des animaux pour le tourisme s’avère représenté dans la photographie par le paysage touristique de Saint-Fulgence-de-l’ Anse-aux-foins.

o La vidéo, nommée « la rémanence du souvenir », montre des images de nature avec une chanson a capella et des images la modification de la nature superposées.

o Le vidéo et le paysage sonore peuvent s’avérer en relation, puisque la perte de la santé de la vieillesse s’avère liée à celle de l’environnement.

o Toutefois, au contraire des humains, les espèces végétales perdent en espérance de vie plutôt qu’elles n’en gagnent.

o Le paysage sonore, nommé « l’hôpital, la nuit », tente de représenter la relation de la vieillesse, de la maladie et de l’argent.

o La vieillesse comporte une part de vitalité déclinante, ce qui crée donc le besoin d’une disponibilité économique pour répondre à ces besoins en termes de santé.

o Ce paysage sonore se compose donc donc de l’hôpital de nuit, où l’on peut entendre le silence envelopper l’hôpital et les passants argüer le long du chemin.

o L’énergie vitale vacille alors que le temps fuit.

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